Il n'y en a pas. Nous suivons les promenades d'un homme. Sortir de chez soi, regarder autour de soi, observer, une ou deux peripeties, un petit coup de folie de temps en temps, et finalement, rentrer chez soi.
Très peu de dialogues, le dessin est précis, et de tout cela émane un calme et une poésie rafraichissantes. En plus, on visite le Japon quotidien.
Soumis par
XH
le 27/06/2004